Paul, comme tu sais bien, puisque pour ta santé je présuppose que tu n'est pas mon fan au sens de regarder tous mes montages néopauvres de peinture et un peu tout, on peut se faire une idée de la carrière des collègues par simple ressenti prostatique (les ovaires aussi ) donc je connais bien ton écriture, toujours plus difficile de se tenir à un personnage qui ne dépasse le Bukowsky de Strasbourg... hélas, quelle croix mais démon défend-toi au lieu d'attaquer. Tu dois traduire Jules Laforgue en anglais
Laforgue en anglais? Je suis déjà pas mal pris... (entre autres la réelle perspective d'un roman français à traduire en anglais mais pour l'instant, c'est secret-défense)
si j'ai pas mal compris l'histoire (question de sortir du registre de la fécalité tout en restant littéraires) la femme de Jules Laforgue était anglaise, Léa, et elle aurait pu traduire son mari puisqu'elle était très littéraire, mais tous deux morts jeunes il y a fortes chances que la bonne traduction (que Léa aurait souhaité pour ses proches anglophones) reste à faire (n'oublions l'apport des "poètes fantaisistes" français)
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RépondreSupprimerje vais expliquer
RépondreSupprimerPaul, comme tu sais bien, puisque pour ta santé je présuppose que tu n'est pas mon fan au sens de regarder tous mes montages néopauvres de peinture et un peu tout, on peut se faire une idée de la carrière des collègues par simple ressenti prostatique (les ovaires aussi ) donc je connais bien ton écriture, toujours plus difficile de se tenir à un personnage qui ne dépasse le Bukowsky de Strasbourg... hélas, quelle croix mais démon défend-toi au lieu d'attaquer. Tu dois traduire Jules Laforgue en anglais
RépondreSupprimerLaforgue en anglais? Je suis déjà pas mal pris... (entre autres la réelle perspective d'un roman français à traduire en anglais mais pour l'instant, c'est secret-défense)
Supprimersi j'ai pas mal compris l'histoire (question de sortir du registre de la fécalité tout en restant littéraires) la femme de Jules Laforgue était anglaise, Léa, et elle aurait pu traduire son mari puisqu'elle était très littéraire, mais tous deux morts jeunes il y a fortes chances que la bonne traduction (que Léa aurait souhaité pour ses proches anglophones) reste à faire (n'oublions l'apport des "poètes fantaisistes" français)
RépondreSupprimerou des reprises de Rabelais
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