Tu
vois, aujourd'hui je me détends, je suis posé à une terrasse, je
bois mon énième thé turc gratos (parce qu'on me connaît et que je
suis gentil). Et je passe le temps en matant des culs. J'adore faire
ça. Je n'attribue pas forcément de notes et d'ailleurs, j'évalue
aussi - de manière non sommative - les nibards. Afin de rassurer
tout le monde, mon regard ne se porte pas exclusivement sur les
fortes poitrines.
Mais
cet après-midi, je me concentre davantage sur les culs. J'en vois de
très sympathiques, bien découpés dans leurs jeans ou autres
pantalons de toile. Des culs pressés, avec de belles fesses
gigotantes, et des culs indolents, estivaux. Les nibards, tu as envie
de les prendre dans tes mains, de face, et de les malaxer sans
ménagement, comme un gros porc que tu es. Mais les culs, c'est bien
aussi pour leur mettre la fessée. Très fréquent, ça, dans les
films de... cul, justement. Une bonne claque sur le dargif de temps
en temps, tout en saillant la gueuse, hein salope haan, tu aimes
hein, redis-le moi.
Bien
sûr, en terrasse, il faut savoir se tenir. On est des porcs dans un
monde de garces, tout le monde le sait (sauf les
humanistes-idéalistes à abattre d'urgence), mais on apprend à
donner le change. Ce qui est bien cet après-midi, c'est qu'il y a un
bon orage sur la ville et, du coup, avec les culs tu as en prime un
concours de miss t-shirt mouillé.
On
est vraiment des obsédés, hein?
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