Pour leur nouvelle
collaboration, publiée aux éditions Trédaniel, le journaliste
Jean-Claude Bourret et le physicien Jean-Pierre Petit reprennent le
complexe dossier OVNI par le biais d'une découverte cosmologique
initialement sans rapport direct avec un phénomène encore largement
considéré comme tabou au sein de la communauté scientifique
française.
Il s'agit d'un
livre-entretien entre deux chercheurs de vérité qui s'étaient déjà
rencontrés en 1975 autour d'une première enquête, Le nouveau
défi des OVNI. Dans cette nouvelle parution de 2017, Jean-Claude
Bourret reprend le rôle de Candide, rôle auquel le lecteur
s'identifiera sans peine étant donné l'ampleur et la complexité
des questions abordées. Jean-Pierre Petit, cependant, en est
parfaitement conscient et il faut préciser de suite que les deux
intervenants font leur possible pour faciliter la compréhension du
lecteur peu versé en sciences. Ils y parviennent mais il n'en
demeure pas moins qu'OVNI, l'extraordinaire découverte est un
ouvrage très dense et, surtout, fascinant.
Je n'aurai pas
l'outrecuidance de commenter en expert (ce que je ne suis pas). Ce
que je retiens, c'est que Petit réfute la théorie des cordes et
l'existence d'une singularité au cœur des trous noirs. Concernant
ces derniers, il pense que ceux-ci débouchent sur un autre univers,
un univers jumeau constitué d'antimatière. Au passage serait
expliqué, grâce au modèle Janus (dieu romain à deux têtes
regardant dans des directions opposées, et gardien des portes) le
mystère de la matière noire, mais pas seulement : une
intelligence (en interaction avec nous depuis très, très longtemps)
serait capable de passer d'un univers à l'autre à bord d'engins
prévus à cet effet. Cela permettrait de comprendre, par exemple, le
fait que ces véhicules soient capables d'opérer des virages à 90°
sans déperdition de vitesse. Stephen Hawking, en tout cas, a remis
en cause (en 2016) l'existence d'une singularité au centre des trous
noirs.
Dixit Jean-Pierre
Petit : « L'énergie d'une masse m, c'est mc2. Si cette
masse est négative, l'énergie est aussi négative. Les particules
de masse et d'énergie négatives émettent des photons d'énergie
négative que nos yeux et nos télescopes ne peuvent pas capter.
C'est aussi simple que cela. »
Selon Petit, la
résolution du problème ovni passe par une attitude nuts and
bolts, autrement dit par la science dure. Il conçoit ce
phénomène comme un véhicule, une machine, et rien d'autres. Son
approche se veut en rupture avec l'angle anthropologique ou
religieux, en particulier avec celle de Jacques Vallée. S'il
reproche à ce dernier son hypothèse du « tout paranormal »,
il n'en demeure pas moins que Vallée aussi est un scientifique de
formation. Par ailleurs, ce « paranormal » en question
est peut-être un « normal » non expliqué ou
éventuellement la perception désormais incomprise de phénomènes
connus depuis fort longtemps mais actuellement intraduisibles dans
notre paradigme.
Quoi qu'il en soit,
l'entretien de Petit et Bourret se projette bien au-delà des seules
données scientifiques. C'est en premier lieu le compte-rendu
détaillé, amer mais dépourvu de haine, d'une carrière
scientifique brisée. Dans la sphère scientifique française, il
semble que tout soit mis en œuvre pour ne pas faire de vagues
lorsqu'il s'agit d'aborder un phénomène absolument irréfutable
mais qui possède l'inconvénient de ne pas être soluble dans les CV
universitaires. On pourrait ajouter une autre hypothèse :
l'interaction ovni/homo sapiens est établie dans certains milieux
mais elle pose des difficultés et des enjeux tels qu'il est
impératif de mettre au placard tous « emmerdeurs »
éventuels du type Jean-Pierre Petit (connu entre autres pour sa
volonté de transparence).
S'arrêter à ces points,
susceptibles de vite déboucher sur des querelles de personnes, ne
ferait pas justice à Petit. L'étude des ovnis, parallèlement à la
physique des plasmas, la cosmologie, ne fait que mettre en évidence
les graves et immédiats problèmes de notre survie. La conversation
avec Bourret évoque bien d'autres domaines que la seule physique :
il est question aussi de biologie, de philosophie, bref d'une remise
en cause globale de notre histoire, toute notre histoire. Comment
expliquer la recrudescence des observations d'ovnis depuis notre
première utilisation de l'atome ? Il est certain que nous
« les » intéressons mais qui nous dit que nous ne nous
trouvons pas, de ce fait (notre recours aux particules élémentaires),
en situation particulièrement critique ? Qui nous dit que, de
ce fait, nous ne « les » mettons pas aussi en danger,
d'une façon ou d'une autre ? Qui nous dit que, de ce fait, nous
ne mettons pas en danger notre accès à une compréhension
supérieure de l'Univers, compréhension peut-être déjà partagée
ici et là par bien des mondes ? Un bémol, cependant : je
ne tiens pas du tout à tomber dans le délire effusif d'une
« fraternité cosmique », « galactique » ou
autre. Je me permets en effet d'évoquer une hypothèse plus sombre
selon laquelle ces « extra-terrestres » ou
« extra-dimensionnels » ne seraient pas forcément animés
d'intentions bienveillantes à notre égard. L'essai de traduction en
langage scientifique d'une présence vieille comme ce monde pourrait
masquer d'anciennes traductions de cette présence : je renvoie
pour cela à une très intéressante étude publiée en 1979 (aux
éditions de la Maisnie) par le chercheur pérennialiste Jean Robin,
Les Objets volants non identifiés ou la Grande parodie.
Bonjour la semaine dernière en pleine nature j'ai pris une photo d'un nuage insolite dans le ciel la forme de nuage représenter une flèche donc je me suis dit tiens je vais prendre une photo ça m'avait l'air d'être sympa mais quelle fut ma surprise quand aussitôt en regardant la photo j'ai vu un triangle noir cacher derrière un nuage c'était flou tout autour comme si ça dégager de la chaleur et aussitôt j'ai repris une photo et ça n'y était plus alors je ne sais pas ce que ça peut-être où puis-je poster ma photo pour qu'elle soit analyser merci cordialement
RépondreSupprimerEssayez peut-être le site du MUFON. (Ou à la rigueur contactez Alexandre Benalla, il paraît qu'il est compétent en TOUT.)
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